On peut certainement parler de relation d’amour entre Richard et le piano, tant leur lien semble indissociable! En effet, enfant, Richard écoutait sa mère jouer du piano à l’oreille et le son qui émanait de ce bel instrument exerçait sur lui une véritable fascination. De celle-ci naitra une histoire fabuleuse. Cependant, il faudra attendre l’âge de 14 ans pour que celui-ci entreprenne des études classiques de piano tout en jouant parallèlement de la musique populaire. À 18 ans, il présente son premier concert et on apprécie qu’il puisse passer aisément de Chopin aux pièces populaires, du ragtime au boogie woogie! La voie de son destin s’offre à lui.
« Un baume pour les plaies de l’âme », voilà comment Richard Abel définirait la musique « Pour moi, elle est bien plus qu’un divertissement! Elle contribue au bien-être des gens autant sur le plan physique que moral » précise-t-il. Comme la musique instrumentale n’a pas de frontières de langue, il y trouve un langage universel idéal pour communiquer avec l’auditoire peu importe son origine. Il a le monde sous ses doigts et se sait privilégié de ce contact intime qu’il établit avec le public avec tant d’aisance. Ses interprétations uniques de son vaste répertoire établissent rapidement une relation chaleureuse et intense avec chaque auditeur qui y trouve sa propre gamme d’émotions.
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